Livres et Parlotte #37 – Octobre 2022

C’est parti pour l’édition d’octobre du club de lecture « Livres et Parlotte » ! Pour un rappel du concept et des modalités  : rendez-vous sur cet article.

Une rencontre à Paris sera prévue le jeudi 27 octobre à 19h30 pour ceux qui le souhaitent ; et nous nous retrouvons toujours également sur le groupe Facebook !

Si vous souhaitez rejoindre le club de lecture et participer aux échanges, rendez-vous ici :  https://www.facebook.com/groups/livresetparlotte
Le thème pour octobre 2022 est : « Romanciers victoriens »

Vous le savez, je trouve que le mois d’octobre (et l’automne en général) est particulièrement indiqué pour la lecture de romans victoriens ! L’atmosphère si particulière de ces romans s’y prête parfaitement. Comme j’ai déjà dédié une sélection aux femmes, place cette fois aux romanciers ! Comme d’habitude, j’ai privilégié des livres en format poche et a priori faciles à trouver…

Afin d’illustrer ce thème j’ai donc sélectionné six romans, dont je vous présente les résumés ci-dessous :

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Les aventures d’Oliver Twist – Charles Dickens

Présentation de l’éditeur :

Un angélique orphelin échappe aux sévices que les institutions charitables de l’Angleterre victorienne réservent aux enfants abandonnés pour tomber dans les plus fangeux cloaques des bas-fonds londoniens. L’apprentissage précoce du vice et du crime y est de règle pour échapper à la misère et à la faim. On n’oubliera guère, après les avoir croisés, ni l’abominable Bumble ni le ténébreux Fagin, cette saisissante préfiguration des gibiers de bagne qui hanteront Les Misérables de Victor Hugo.
Créations de l’imaginaire ? Ombres portées des terreurs et des cauchemars de l’enfance ? Peut-être. Toujours est-il que les contemporains y virent le reflet de la réalité.

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Secret absolu – William Wilkie Collins

Présentation de l’éditeur :

En cette nuit du 23 août 1829, le manoir des Treverton sur la côte ouest de la Cornouailles n’est que silence et ténèbres. Mrs Treverton, avant de rendre l’âme dans la solitude, dicte à sa dame de chambre, Sarah Leeson, une mystérieuse confession qu’elle lui fait promettre de ne jamais détruire. Des années plus tard, le manoir est mis en vente. Sarah a disparu et, avec elle, son secret. Mais alors que le fils du nouveau propriétaire s’apprête à épouser Rosamond Treverton, la fille des anciens maîtres du lieu, une étrange domestique fait son apparition. Elle semble tout connaître des mystères de la maison. Le passé, insidieusement, revient hanter l’existence des futurs époux que tout promettait au bonheur…

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La Foire aux vanités – William Makepiece Thackeray

Présentation de l’éditeur :

La bataille de Waterloo approche et l’Europe retient son souffle. À l’écart du théâtre des opérations, un petit groupe de gentilshommes se jette à l’assaut du succès personnel et du bonheur. Avec une ironie corrosive, Thackeray nous donne à voir la mesquinerie et la bêtise qui se dissimulent derrière les manières de la haute société du temps.
Un étonnant portrait de femme se dégage au milieu de cette chorégraphie, celui de Becky Sharp, orpheline désargentée qui compense en talent et en ruse les titres qui lui font défaut. Véritable self-made-woman avant l’heure, à la fois impitoyable et irrésistible, elle ne reculera devant aucune extrémité pour garantir sa fortune.

→ Ma chronique ici

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Le Directeur – Anthony Trollope

Présentation de l’éditeur :

Septimus Harding, un homme doux et timide, aimé et respecté, et qui paraît incarner à lui seul toutes les qualités humaines et les vertus chrétiennes, se voit accusé d’enrichissement personnel illégal : de sa fonction de directeur d’hospice de charité il aurait fait une confortable sinécure. Quand John Bold, réformateur trop zélé, utilise la presse nationale pour l’attaquer, c’est un coup de tonnerre qui retentit dans le petit monde feutré du clergé attaché à la cathédrale de Barchester (inspirée de celle de Salisbury). Pourtant, la définition nette du bien et du mal, du coupable et de l’innocent, sera rapidement ébranlée dans ce combat qui oppose médias assoiffés de scandale et conscience morale solitaire.

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Dracula – Bram Stoker

Présentation de l’éditeur :

Le jeune Jonathan Harker rend visite au comte Dracula dans son château des Carpates afin de l’informer du domaine qu’il vient d’acheter pour lui en Angleterre. Au cours de son voyage, les autochtones qu’il rencontre tentent de le dissuader d’atteindre son but et manifestent une inquiétude véhémente où il ne voit d’abord que l’expression d’une superstition locale ridicule. Dès son arrivée chez le comte, l’inquiétude gagne pourtant Jonathan Harker, jusqu’au jour où trois jeunes femmes pénètrent dans sa chambre pour lui prodiguer des baisers qui sont autant de morsures. Alors qu’il entreprend une exploration du château, il découvre, gisant dans une caisse, le comte Dracula…
A Whitby, en Angleterre, où l’histoire se déplace, Lucy, l’amie de Mina, la fiancée de Jonathan, sera la première victime du vampire.

→ Ma chronique ici

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Tess d’Urberville – Thomas Hardy

Présentation de l’éditeur :

Jeune paysanne innocente placée dans une famille, Tess est séduite puis abandonnée par Alec d’Urberville, un de ses jeunes maîtres. L’enfant qu’elle met au monde meurt en naissant.
Dans la puritaine société anglaise de la fin du XIXe siècle, c’est là une faute irrémissible, que la jeune fille aura le tort de ne pas vouloir dissimuler. Dès lors, son destin est une descente aux enfers de la honte et de la déchéance.

→ Ma chronique ici

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Le vote est à présent terminé, et voici le roman choisi à la majorité des voix :

Tess d’Urberville, de Thomas Hardy

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À bientôt

3 commentaires sur “Livres et Parlotte #37 – Octobre 2022

  1. « La foire aux vanités » est un de ces pavés que j’ai envie de lire depuis très longtemps et « Tess d’Uberville » fait aussi partie de ces livres qui me font de l’œil depuis trop longtemps.

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