• Instagram
  • Facebook
  • Twitter
  • Goodreads
Charlotte Parlotte

Charlotte Parlotte

Blog littéraire

  • Mes coups de coeur
  • Envie de …
    • … d’une histoire d’amour
    • … de récit psychologique
    • … de mystère
    • … de découvrir un classique
    • … de pleurer d’émotion
    • … de parcours initiatique
    • … de récit féministe
    • … de mener l’enquête
    • … d’une histoire de famille
    • … de prendre une claque
    • … de fantastique
    • … de voyager
    • … d’histoire avec un grand H
    • … d’une dystopie
    • … de frissonner d’angoisse
    • … de rire
    • … de leçons de vie
  • Livres … par auteur
  • Livres … par genre littéraire
    • Romans classiques
    • Romans contemporains
    • Nouvelles
    • Policiers / Thrillers
    • Témoignages / autobiographies
    • Biographies
  • Littérature …
    • … allemande
    • … américaine
    • … anglaise
    • … australienne
    • … autrichienne
    • … canadienne
    • … espagnole
    • … française
    • … irlandaise
    • … latino-américaine
  • Chroniques de saison
  • Livres et Parlotte
  • Cinéma & Séries
  • Contact

Catégorie : Katia Ghanty

... de leçons de vie, ... pleurer d'émotion, Katia Ghanty, littérature française, Livres, Témoignages / autobiographies

Les frottements du coeur – Katia Ghanty

8 mars 201811 juin 2018par Charlotte Parlotte5 commentaires sur Les frottements du coeur – Katia Ghanty
Les frottements du coeur – Katia Ghanty

Poursuivre la lecture de « Les frottements du coeur – Katia Ghanty » →

Partager :

  • Twitter
  • Facebook
  • Pinterest

WordPress:

J'aime chargement…

Bienvenue

Sur ce blog, je partage avec vous mes découvertes et mes coups de coeur littéraires… Bonne lecture !

Rechercher

Newsletter

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par email.

Articles populaires

  • Les femmes de Heart Spring Mountain - Robin MacArthur
    Les femmes de Heart Spring Mountain - Robin MacArthur
  • L'Empreinte - Alexandria Marzano-Lesnevich
    L'Empreinte - Alexandria Marzano-Lesnevich
  • Inishowen - Joseph O'Connor
    Inishowen - Joseph O'Connor
  • Livres : mes coups de coeur en 2018
    Livres : mes coups de coeur en 2018
  • Derniers feux sur Sunset - Stewart O'Nan
    Derniers feux sur Sunset - Stewart O'Nan

Suivez-moi sur Instagram

Hier j’ai eu l’immense privilège de parcourir en avant-première l’exposition « Brillantes écritures » de Chaumet, au ‪165 boulevard Saint Germain.‬
💎
Une exposition qui retrace les liens entre la célèbre maison parisienne créée en 1780 et les écrivains. Des écrivains comme Honoré de Balzac, Alfred de Musset, Théophile Gautier, Edmond de Rostand, qui ont fait du joaillier une figure incontournable de leurs romans, l'inscrivant dans le patrimoine littéraire français. Mais l’exposition fait aussi la part belle aux personnalités littéraires qui se pressaient chez le joaillier pour réaliser les plus belles parures. Ainsi Edith Wharton, Karen Blixen, ou encore Olga Picasso, pour ne citer qu’elles, figurent parmi les illustres clientes de la maison. 
Dans ce petit hôtel particulier rive gauche, trois étages sont dédiés à cette communion passionnante entre grands écrivains et joyaux uniques, présentant pour la première fois au public des bijoux splendides, des carnets de commandes et des croquis, dans un dialogue permanent avec la littérature, représentée par des manuscrits d’époque et des Pléiades, dont certains extraits parsèment la visite.
💎
Je ne peux que vous recommander cette très belle exposition, ouverte ‪du 22 février au 1er avril 2019‬.
Pour réserver votre visite, rendez-vous sur le lien dans ma bio ! 
@chaumetofficial #chaumet165 #ad Nouvelle chronique sur le blog : Les femmes de Heart Spring Mountain, de Robin MacArthur
•
Après le passage de l'ouragan Irene, Vale part à la recherche de sa mère, Bonnie. L'occasion pour elle d'un retour aux sources et à ses origines, mais aussi, pour toutes les femmes de cette famille, de sonder leur histoire et révéler les secrets trop longtemps tus.

La structure du roman est efficace, ces brefs chapitres, qui s'apparentent presque à des nouvelles à part entière, rappelant le magnifique recueil Coeur sauvage de l'auteure. Des chapitres qui alternent les points de vue, rivalisant d'émotion à mesure qu'ils racontent l'histoire de ces femmes : Vale, Deb, Hazel, Lena...
J'ai aimé la poésie du roman, aussi bien dans les descriptions de la nature environnante, sauvage, déchaînée et surtout menacée, que dans celles des états d'âme des personnages. Léna en particulier, cette femme vivant dans sa cabane avec sa chouette borgne, en symbiose totale avec le monde et la forêt qui l'entourent, est fantasque, passionnée et si vivante qu'elle est sans doute la plus attachante de toutes. J'ai trouvé également la personnalité de Vale intéressante, cette dualité permanente entre la fuite et le besoin de racines. 
Malgré des qualités, ce n'est pas un coup de coeur. Le roman laisse planer un constat désabusé sur l'humanité et l'évolution de notre planète, ce que j'ai trouvé certes très pertinent mais bizarrement développé. La guerre, le réchauffement climatique, l’épuisement des ressources, mais aussi les souffrances des nations indiennes (la question des stérilisations forcées est abordée par exemple), ou encore le féminisme, la drogue, la pauvreté... Des sujets extrêmement divers, parfois très superficiellement traités, et dont l’accumulation finit par alourdir le propos. Tout au long de ma lecture le roman me rappelait ceux de Louise Erdrich, et souffrait quelque peu de la comparaison. Cela ne m'a néanmoins pas empêché d'apprécier ce roman d'une grande mélancolie, qui place en son coeur de magnifiques portraits de femmes.
•
Chronique complète à retrouver sur mon blog (lien direct dans la bio)
@editionsalbinmichel Nouvelle chronique sur le blog : Derniers feux sur Sunset - Stewart O'Nan
•
Ce roman est une plongée au coeur des dernières années de Francis Scott Fitzgerald. Alors que Zelda ne va pas mieux et que les dettes, notamment les factures de l’hôpital et de l’école de Scottie, s’accumulent, Fitzgerald décide de retenter sa chance à Hollywood, en travaillant sur des scénarios.
Après une existence de fêtes et de démesure, l’auteur de Gatsby et de Tendre est la nuit a somme toute peu profité de son succès, et le déclin de ses dernières années laisse place à un homme las, criblé de dettes, et n’ayant même pas pu achever son dernier roman. 
Il y a quelque chose de profondément pathétique chez cet écrivain qui n’a pas connu une pleine reconnaissance de son vivant, et qui, miné par les désillusions et une jeunesse brûlée par les deux bouts, est contraint de s’abaisser à retoucher les scénarios des autres, pour gagner de quoi subsister. On a peine à croire qu’un tel génie, dont les romans sont tant célébrés aujourd’hui, ait pu connaitre une fin de vie aussi triste. Le roman montre parfaitement le lien indéfectible qui le lie à Zelda, et les passages relatant leurs moments ensemble sont les plus réussis.

Stewart O'Nan a parfaitement capturé ce qu’on sait de l’état d’esprit de l’écrivain dans ces années-là. Néanmoins j’ai tout trouvé le style pesant, avec des descriptions longues et inutiles, et des passages répétitifs. Par ailleurs, l’auteur a la manie agaçante d’égrener des listes de noms du monde du cinéma de l'époque, sans que cela n’apporte grand chose à l’histoire de Fitzgerald lui-même. Cette obsession donne l’impression de justifier le côté paillettes d’un roman qui est somme toute plutôt triste et désenchanté. Petit à petit, le roman lasse un peu... Une lecture en demi-teinte donc.
•
Chronique complète à retrouver sur le blog (lien direct dans la bio)
#livresetparlotte Nouvelle chronique sur le blog : Les fureurs invisibles du coeur, de John Boyne.
•
Cela faisait longtemps que ce roman m'attendait sur ma table de chevet, que voulez-vous les romans irlandais n’en finissent pas de s’empiler et j’essaie de ne pas lire que ça quand même...! 😉 
Celui-ci, à nouveau, m’a bouleversée. Comme il me paraît difficile à présent de poser des mots pour tenter de refléter ce foudroyant coup de coeur !

Au travers de l'histoire émouvante d'un homme, Cyril Avery, symbole de tout ce qui allait de travers dans la société irlandaise et qui petit à petit, progresse vers la résilience et l'acceptation, le roman aborde nombre de thématiques qui ont traversé l’histoire récente de l’Irlande : le poids du catholicisme, les années de conflit avec l'IRA, le rejet de l'homosexualité, la corruption politique, la violence, le sida. Il s'ouvre en 1945, l'année de naissance de Cyril, pour se terminer en 2015 : une odyssée romanesque de 70 ans dans la vie d'un homme en proie à de nombreux démons. Chaque chapitre est espacé de sept années, nous présentant une tranche de vie de Cyril, chaque fois un peu plus âgé, chaque fois à un stade émotionnel différent. Mais c'est aussi 70 ans dans une Irlande changeante, de l'immédiat après-guerre jusqu’à l'année où le référendum sur le mariage homosexuel a été adopté. 
J'ai souvent ri et pleuré, parfois les deux en même temps. Car ce roman est tout à la fois tendre, cruel, drôle, et souvent très dur, avec des épisodes dramatiques, d'autant plus d'ailleurs qu'ils sont particulièrement réalistes. La galerie de personnages est extraordinaire, et l'auteur a le don de trouver le juste équilibre entre l'émotion pure et l’humour salvateur, pour faire sourire son lecteur, et même rire, aux dépens de la bêtise humaine. Avec ce saisissant récit sur l'Irlande, la famille, et l'identité, John Boyne signe un réquisitoire d'une incroyable force.
•
Une chronique plus complète vous attend sur le blog (lien dans la bio) !
@johnboyne 
@editionsjclatteslemasque Nouvelle chronique sur le blog : Froidure, de Kate Moses
•
C'était l'un des cinq romans que j'avais retenus pour illustrer le thème de février pour les soirées "Livres et Parlotte" : les biographies romancées d'écrivains célèbres. Il n'a pas remporté beaucoup de suffrages, mais c'était mon petit favori, et j'ai adoré ma lecture.

C'est un très beau roman, merveilleusement contemplatif, qui imagine le mois de décembre 1962 passé par la poétesse Sylvia Plath à Londres, quelques semaines seulement avant son suicide en février 1963. Après la trahison de son mari et l'effondrement de son mariage, Sylvia décide de quitter la maison familiale dans la campagne du Dartmoor pour un appartement londonien, où, comble de la coïncidence, avait vécu le poète Yeats. Elle veut laisser derrière elle le foyer qui lui rappelle trop sa solitude et la désertion de Ted, et se fondre dans l'effervescence londonienne, se remettre à écrire, et publier un second recueil de poèmes. C'est là qu'elle rassemblera les quarante et un poèmes qui formeront son dernière recueil, publié à titre posthume : Ariel. Des poèmes qu'elle écrit la nuit, lorsque ses enfants sont endormis et qu'elle peut enfin se concentrer sur son travail. Des poèmes qu'elle puise dans sa souffrance, dans son abandon, dans sa dépression latente.

Tout au long du roman, on suit ses réflexions, on revit avec elle ses traumatismes, et on se perd comme elle dans le tourbillon néfaste de ses pensées désespérées, passant des petits bonheurs auxquels elle tente de se raccrocher au plus profond abattement. C'est extrêmement troublant et poignant. Ses réflexions, telles que se les imagine Kate Moses, m'ont beaucoup fait penser à Mrs Dalloway, de Virginia Woolf. On retrouve dans Froidure cette plongée au coeur des pensées d'une femme, qui s'interroge sur sa place dans le monde, sur son rôle de mère, de femme, sur ce qui la définit.
•
Chronique complète à retrouver sur le blog (lien direct dans la bio)
@folio_livres 
#livresetparlotte Nouvelle chronique sur le blog : L'étrange disparition d'Esme Lennox, de Maggie O'Farrell.
•
Deux soeurs se trouvent à un bal. Il y a l'aînée, Kitty, et la plus jeune, Esme. Elles sont complices et pourtant si différentes. Kitty est belle, sage, et attend avec impatience d'avoir l'âge de se marier. Esme est exubérante, curieuse, et entend vivre sa vie comme elle l'entend, sans se préoccuper des convenances. Depuis qu'elle est petite tout le monde roule des yeux devant son comportement et essaie de mater son indépendance d'esprit. 
Soixante ans plus tard, Iris reçoit un coup de téléphone : elle apprend qu'Esme est sa grande tante, sur laquelle jusqu'ici elle ne savait rien, et que l'asile dans lequel elle est internée s'apprête à fermer. Accepterait-elle de s'occuper de la vieille femme ?

Pour quelle raison Esme a-t-elle été enfermée dans un asile, et surtout pourquoi y est-elle restée aussi longtemps, jusqu'à disparaître totalement de l’histoire familiale ? Petit à petit l’auteure égrène les indices, grâce à des allers-retours entre le passé, en Inde puis en Écosse, et le présent, déroulant le fil des souvenirs d’Esme, mais aussi ceux, plus fragmentés par la maladie d’Alzheimer, de sa soeur Kitty. Progressivement les secrets de famille émergent, et le drame d’une vie gâchée, oubliée de tous, se dessine. 
J'aime beaucoup les romans de Maggie O'Farrell, en particulier Assez de bleu dans le ciel et le poignant Quand tu es parti. On retrouve dans celui-ci les thèmes récurrents de la romancière : le poids du passé, la disparition, la mémoire... Des thèmes qui sont venus rejoindre le sujet brûlant des internements arbitraires de jeunes filles à une époque où la notion d’hystérie féminine servait à tort et à travers...
•
Chronique complète à retrouver sur le blog (lien direct dans la bio)
@editions1018
Pour info le dernier roman de Maggie O’Farrell paraitra en mars aux @editionsbelfond ! J’ai hâte de le lire ! 💚☘️

En cours de lecture…

Archives

Facebook

Facebook
  • Instagram
  • Facebook
  • Twitter
  • Goodreads
Powered by WordPress.com. Thème : Olsen par CSSIgniter
%d blogueurs aiment cette page :